Le week-end dernier, Woleu-Ntem n’a pas reçu un Président. Elle a accueilli l’un des siens.
Et ce fils du pays n’est autre que Brice Clotaire Oligui Nguema, Président de la Transition, dont la présence dans cette province n’a laissé personne indifférent. Ce n’était pas une visite d’apparat. C’était une immersion. Un retour à l’essentiel. Un moment d’élévation, de proximité et de puissance humaine.
Un retour aux origines, comme une renaissance
Dans un monde politique souvent corseté, Brice Oligui Nguema a brisé les codes. Il est revenu dans la province de son père non pas en cortège triomphal, mais en homme simple, enraciné, authentique. Il est allé se ressourcer, non dans un palais, mais dans la chaleur d’un peuple qui le reconnaît non seulement comme Président, mais comme fils du sol, frère de sang, enfant du terroir.
Ce n’était pas un déplacement, c’était un ancrage.
Ce n’était pas une pause, c’était une déclaration d’amour silencieuse à ses racines.
L’homme de foi qui s’agenouille là où son cœur bat
Au sanctuaire de Notre-Dame de l’Espérance d’Oyem, le Président s’est recueilli. Non pas en leader surveillé, mais en homme de foi libéré. Il a allumé des cierges. Fait le signe de croix. Prié dans le silence des chutes. Ce moment-là, capturé par des témoins bouleversés, a frappé la nation :
Brice Oligui Nguema n’est pas un Président détaché des choses sacrées. Il est un croyant endurci. Un homme porté par une spiritualité vraie, vibrante.
Il ne dirige pas seulement par la force d’un mandat. Il marche guidé par la force d’une conviction céleste.
Quand le Président chausse les crampons, c’est la République qui s’allège
Scène inattendue, mais inoubliable : le Président joue au football avec des villageois. Il court, fait des passes, marque des buts. Il rit. Il célèbre. Il transpire avec son peuple. Cette image, virale et sidérante, a fait le tour du pays :
Un Président dans la poussière, dans le jeu, dans la joie collective. Pas spectateur. Acteur. Frère d’équipe.
Il n’était pas là pour impressionner. Il était là pour partager. Et dans chaque passe, dans chaque sourire, il transmettait un message : le pouvoir peut aussi être un moment de communion.
Une marche à hauteur d’homme, une écoute au ras du cœur
Il n’a pas emprunté des routes goudronnées par privilège. Il a marché aux côtés des villageois, sur les chemins rouges et humides de la province. Il s’est arrêté pour écouter une mère de famille. Il a serré la main d’un ancien. Il a plaisanté avec les enfants. Il a parlé librement, sans notes, sans barrière.
Là, dans la poussière de la marche partagée, la fonction présidentielle a retrouvé son humanité.
Une claque silencieuse à l’arrogance du pouvoir
Ce week-end n’est pas un fait divers politique. C’est un événement symbolique. Un électrochoc républicain.
Dans un contexte où les peuples se méfient des élites, Brice Oligui Nguema a envoyé un signal fort :
« Je suis des vôtres. Je suis avec vous. Je suis vous. »
« Un homme, une terre, un lien sincère. »
« Le Président chez lui, comme tout un chacun. »
Il n’a pas parlé fort. Il a agi fort. Et parfois, ce sont les silences qui hurlent le plus.
Brice Oligui Nguema, incarnation d’un pouvoir enraciné et lumineux
Par sa posture, ses gestes, ses choix, le Président redessine les contours du leadership national. Il réconcilie l’exercice du pouvoir avec la simplicité, la foi et la fraternité. Il incarne une autre manière d’être chef d’État : proche, spirituel, humain, puissant par le lien, non par la distance.
Ce week-end dans le Woleu-Ntem n’était pas une pause, c’était une promesse silencieuse faite au pays tout entier :
celle d’un Président qui ne s’éloignera jamais de son peuple, ni par le protocole, ni par l’orgueil.
Un exemple. Un élan. Un tournant.
Ce retour aux sources de Brice Oligui Nguema n’est pas anecdotique. Il est fondateur. Il trace une voie. Il redonne du souffle à la République. Et il invite chaque Gabonais à reconnaître dans son dirigeant non un monarque, mais un homme de foi, de chair, de terre, de cœur.
Brice Oligui Nguema n’est pas simplement en mission pour la nation.
Il est enraciné dans son âme. Et dans la nôtre.