Selon plusieurs sources officielles gabonaises, ces rumeurs sont catégoriquement démenties par le gouvernement. Le Président de la République, Brice Clotaire Oligui Nguema, a clairement indiqué que le Gabon ne sera jamais utilisé comme une terre de dépôt pour des migrants, notamment des migrants criminels venus d’Amérique. Il refuse de céder à toute forme de pression extérieure ou à des arrangements opaques qui viseraient à faire du Gabon un pays de déportation forcée de populations étrangères indésirables.
Lors de sa récente visite aux États-Unis en juillet 2025, Brice Clotaire Oligui Nguema a renforcé les relations bilatérales entre Libreville et Washington dans des domaines clés tels que l’économie, la sécurité et la coopération stratégique, sans aucun élément évoquant un accord sur la déportation de migrants vers le Gabon. Au contraire, son discours met en avant la souveraineté nationale et la lutte contre l’immigration illégale sur le sol gabonais, témoignant d’une volonté de contrôle strict des flux migratoires au niveau des frontières du pays.
Par ailleurs, la gestion des flux migratoires en provenance d’autres pays est clairement orientée vers la réduction de l’immigration clandestine sur le territoire gabonais, notamment dans des zones frontalières comme Lekoko, où le Président Gabonais a pris des mesures pour sécuriser et réguler cette immigration.
Actuellement, il n’existe aucune preuve sérieuse ou officielle qui démontrerait le contraire sur la posture de Brice Clotaire Oligui Nguema à ce sujet. Les autorités Gabonaises réaffirment au contraire leur volonté de préserver la souveraineté du Gabon et d’éviter que le pays soit utilisé comme réceptacle de populations déportées contre leur gré. Les rumeurs sont donc infondées et démenties avec fermeté par le gouvernement gabonais.