Le 12 avril 2025, le Gabon s’apprête à vivre un tournant décisif : l’élection présidentielle qui scellera l’issue de la Transition. Ce jour-là, Brice Clotaire Oligui Nguema, homme de devoir et de rupture, ne sera pas seulement un candidat. Il sera le porteur d’un engagement, le garant d’un serment, l’incarnation d’une promesse de renouveau national.
Depuis son avènement à la tête de l’État, il n’a eu de cesse de redonner à la gouvernance son autorité, à l’économie ses fondations et aux institutions leur légitimité. Mais l’œuvre n’est pas achevée. Le 12 avril, il ne s’agira pas d’un simple scrutin, mais d’un plébiscite de la réforme contre la stagnation, d’un choix entre un Gabon refondé et le spectre des errements passés.
Un leadership éprouvé, un avenir à bâtir
Brice Oligui Nguema est un chef d’État de l’action et de l’exigence, un dirigeant qui a su imposer la rigueur face à l’improvisation, l’ordre face au laxisme, l’intérêt national face aux prédations privées. Son parcours durant la Transition a été marqué par une volonté inébranlable de redresser le pays, de restaurer la souveraineté économique, de moraliser la gestion publique et de replacer le peuple au centre de la République.
Toutefois, les réformes en cours nécessitent une continuité et une accélération. Le temps d’une transition est court, mais le temps de la refondation est une épreuve de longue haleine. C’est là que réside l’enjeu fondamental du 12 avril : donner à l’homme qui a enclenché ce redressement le mandat populaire et démocratique pour l’amener à son aboutissement.
Les défis d’un second souffle républicain
Le Gabon ne peut plus se permettre de replonger dans l’instabilité institutionnelle, l’inertie économique et le fléau des oligarchies prédatrices. Cette élection présidentielle doit être celle du pragmatisme et de la raison, celle d’un projet national fondé sur des fondamentaux solides :
• Consolider la souveraineté économique : Briser les dépendances structurelles, maximiser la valeur ajoutée nationale et garantir la prospérité pour tous.
• Poursuivre la refonte de l’administration : Une gouvernance efficace, dépouillée de la corruption et recentrée sur le service public.
• Renforcer l’État de droit : Garantir la justice sociale, l’équité et la stabilité institutionnelle.
• Investir dans les générations futures : Une éducation et une formation adaptées aux défis du XXIᵉ siècle.
Le 12 avril, ce ne sera pas simplement une candidature de plus. Ce sera un appel à poursuivre une œuvre titanesque, à donner à la refondation du Gabon un ancrage démocratique et durable.
Un choix entre la régression et l’espérance
Brice Oligui Nguema ne se présente pas pour un titre ou un privilège. Il se présente pour un devoir, pour une responsabilité historique, pour un engagement envers son peuple.
L’élection du 12 avril scellera un destin national. Ce jour-là, le Gabon devra choisir :
• Reprendre le chemin chaotique des décennies perdues, où l’État était l’otage des intérêts privés,
• Ou embrasser la continuité d’un leadership éprouvé, qui a déjà amorcé une transformation réelle et tangible.
Car l’Histoire est impitoyable. Elle ne sacre que les bâtisseurs, ceux qui refusent la fatalité et inscrivent leur passage dans la pierre.
Le 12 avril, Brice Clotaire Oligui Nguema devra non seulement convaincre, mais incarner le Gabon qui avance, le Gabon qui se reconstruit, le Gabon qui refuse de retomber dans les abîmes du renoncement.
Ce scrutin ne sera pas un simple verdict électoral, mais un plébiscite de la lucidité et du courage politique. Le choix appartient au peuple, mais l’enjeu est clair : achever la Transition ou replonger dans l’incertitude.
Dans les urnes, il ne s’agira pas de choisir un homme, mais de sceller un destin national.