En ce 17 août 2025, à l’occasion du 65e anniversaire de l’indépendance, le président de la République a posé un acte aussi spectaculaire que solennel : hisser le plus grand drapeau du Gabon, 300 m² sur le plus haut mât d’Afrique centrale, érigé à 50 mètres de hauteur. Un geste fort, depuis un lieu chargé d’histoire, pour incarner une République relevée, restaurée, et désormais tournée vers la grandeur.
Un drapeau colossal pour un message clair : le Gabon ne se courbe plus
Depuis le site symbolique du Mont Bouët, le chef de l’État a envoyé un signal puissant. Devant la Nation réunie, il a procédé à la levée des couleurs nationales sur un mât géant, visible à des kilomètres. Ce n’est pas un simple acte protocolaire, mais un moment d’élévation politique, républicaine et identitaire.
« Ce n’est pas un simple geste. C’est un acte de foi républicaine, un symbole d’unité, de mémoire et d’espérance. »
Le drapeau gabonais s’élève désormais plus haut que jamais. Et avec lui, une volonté présidentielle de hisser tout un pays vers le haut.
Le Mont Bouët, théâtre du réveil républicain
Le choix du Mont Bouët n’est pas fortuit. Ce site, jadis centre névralgique du pouvoir et de la mémoire institutionnelle, avait été mis en sommeil. Le président Oligui Nguema le réactive avec force, et y replante les racines de la République.
« Depuis ce lieu chargé d’histoire, nous affirmons ensemble que le Gabon ne reculera plus jamais. Il avance, fermement, avec ses valeurs, ses institutions, et surtout, avec son peuple. »
Le drapeau ne flotte pas dans le vide. Il flotte sur une histoire retrouvée, assumée, et propulsée vers l’avenir.
Un chef d’État qui incarne la hauteur et impose le cap
Par ce geste spectaculaire, Brice Clotaire Oligui Nguema ne célèbre pas simplement un anniversaire : il inscrit sa présidence dans l’Histoire.
En pleine construction de la Ve République, il montre que la République gabonaise ne sera plus gérée à hauteur d’hommes, mais à hauteur d’État.
« Ce drapeau est celui de la souveraineté retrouvée, de la dignité défendue, et de l’engagement d’un peuple à se tenir debout, quelles que soient les épreuves. »
C’est la marque d’une gouvernance de rupture, qui ne transige ni sur les symboles, ni sur les principes.
Sous Oligui Nguema, la République se dresse. Et elle ne redescendra plus.
Le plus haut mât d’Afrique centrale n’est pas un monument de plus. Il est un avertissement, un repère, une promesse. Celle d’un Gabon qui regarde désormais loin, haut et fort.
Et d’un président qui ne parle pas seulement de changement, mais qui le matérialise. Spectaculairement.