La souveraineté économique du Gabon est en marche, et Brice Oligui Nguema le prouve une fois de plus. En visite à Port-Gentil, capitale économique et cœur battant de l’industrie pétrolière, le Président de la Transition a fait une annonce qui résonne comme un coup de tonnerre : « Regardez l’actualité, la semaine qui arrive, je vais encore payer une société pétrolière. »
Une déclaration forte, prononcée au siège de l’Organisation nationale des employés du pétrole (ONEP), sous les acclamations des travailleurs du secteur. Après le rachat stratégique d’Assala, cette nouvelle acquisition s’inscrit dans une dynamique implacable de reprise en main des ressources nationales.
Vers une souveraineté pétrolière totale
Le pétrole, pilier de l’économie gabonaise, a longtemps été sous contrôle étranger, avec des contrats souvent déséquilibrés au détriment des intérêts nationaux. En l’espace de quelques mois, Brice Oligui Nguema a amorcé un tournant historique : reprendre le contrôle des richesses du pays pour qu’elles profitent réellement aux Gabonais.
Le rachat d’Assala a marqué un signal fort, mais il ne s’agit visiblement que d’une première étape. En annonçant une nouvelle acquisition imminente, le Chef de l’État affiche sa détermination à renforcer la mainmise du Gabon sur son or noir. Cette approche pragmatique et audacieuse traduit une volonté claire : mettre fin à la dépendance excessive aux multinationales et garantir que chaque baril exploité bénéficie avant tout à la nation.
Une stratégie économique cohérente et assumée
Depuis son arrivée au pouvoir, Brice Oligui Nguema a fait de la souveraineté économique une priorité absolue. Que ce soit dans les secteurs minier, forestier ou pétrolier, l’objectif est le même : récupérer les actifs stratégiques pour bâtir une économie plus robuste et autonome.
En consolidant la présence de l’État dans le secteur pétrolier, il crée les conditions d’un développement maîtrisé, où les revenus générés serviront directement au financement des infrastructures, de l’éducation et des services sociaux. Ce modèle s’oppose à celui d’un pays réduit à un simple fournisseur de matières premières sous perfusion étrangère.
Le Gabon reprend son destin en main
Cette nouvelle acquisition annoncée par Brice Oligui Nguema s’inscrit dans une dynamique de rupture avec les logiques du passé. L’ère où les ressources gabonaises échappaient au peuple gabonais touche à sa fin. Il ne s’agit plus de subir, mais d’agir.
Le message envoyé est limpide : le Gabon ne bradera plus ses richesses, il les récupère et les gère lui-même. Une démarche qui, si elle se poursuit avec rigueur et vision, pourrait bien redessiner l’avenir économique du pays.