Ce 28 juin 2025, le Président de la République, Son Excellence Brice Clotaire Oligui Nguema, a honoré de sa présence la cérémonie sacrée ÉVANDAGANYÈ, organisée au sein de la Chefferie traditionnelle EKA. Aux côtés des communautés Mpongwè, Nkomi, Orungu, Simba, Benga, Akele de l’Estuaire et Sekiani, le Chef de l’État a pris part à un moment rare de spiritualité, de mémoire et de réconciliation.
Un geste fort, une présence symbolique
En prenant part à cette procession traditionnelle, le Président ne s’est pas contenté d’être un simple spectateur. Il a marché, en toute humilité, avec le peuple et pour le peuple, dans un acte de reconnaissance envers les racines profondes de la nation gabonaise. À travers ÉVANDAGANYÈ, cérémonie de purification, de pardon et de réconciliation propre à l’ethnie Mpongwè, il a envoyé un message fort : la modernité gabonaise ne se construira jamais au détriment de ses fondations spirituelles et culturelles.
Réconcilier le passé, incarner l’unité
Alors que l’Afrique se bat pour préserver son identité face à la mondialisation galopante, le Président Oligui Nguema montre le chemin : retourner aux sources, écouter la sagesse ancestrale, et valoriser les cultures vivantes qui structurent la mémoire des peuples. En s’inclinant devant les rites d’ÉVANDAGANYÈ, il tend la main à toutes les composantes du Gabon pour bâtir un futur fondé sur le respect, la cohésion et l’unité nationale.
Un Président enraciné dans la nation

Dans un monde souvent déconnecté de l’essentiel, ce geste présidentiel est bien plus qu’un acte culturel. C’est une affirmation politique puissante : celle d’un Chef de l’État enraciné dans l’histoire vivante de son peuple, conscient que la paix durable, la stabilité et le progrès doivent s’appuyer sur un socle identitaire solide.
En honorant ÉVANDAGANYÈ, Brice Clotaire Oligui Nguema rappelle que la force d’une nation réside autant dans la vigueur de ses institutions que dans la vitalité de ses traditions.
Ce 28 juin 2025 restera comme un moment où la République a marché aux côtés de l’esprit du peuple. Et c’est peut-être là, dans cette communion sacrée entre passé et présent, que se forge le Gabon de demain.