Libreville, 16 juin 2025 – C’est un geste fort, à la fois technique et symbolique, que le Président de la République, S.E. Brice Clotaire Oligui Nguema, a posé ce lundi : l’inauguration officielle de la station de pompage du PK5, infrastructure stratégique du Programme Intégré d’Alimentation en Eau Potable et d’Assainissement de Libreville (PIAEPAL).
Plus qu’un simple ruban coupé, cette inauguration marque une avancée décisive dans la lutte pour l’accès équitable à l’eau potable, un droit fondamental encore inégalement réparti dans le Grand Libreville. Ce projet structurant, réalisé en partenariat avec la Banque Africaine de Développement (BAD), s’inscrit dans une logique claire : moderniser les infrastructures de base pour garantir aux populations des services publics efficaces, accessibles et durables.
De la promesse à l’action
Par cette réalisation, le Chef de l’État donne corps à l’un des piliers de sa gouvernance : le retour de l’État dans ses fonctions essentielles, au service des citoyens. L’eau, ressource vitale, devient ici le symbole d’un État qui tient ses engagements, loin des effets d’annonce et proche des réalités quotidiennes.
L’inauguration du PK5 est aussi une réponse directe aux urgences sociales que connaît Libreville. Elle traduit une volonté politique assumée : ne laisser aucune famille, aucun quartier, en marge de la modernité et du progrès.
Un partenariat stratégique pour un impact durable
Porté avec le soutien de la Banque Africaine de Développement, ce projet démontre la capacité du Gabon à mobiliser des financements internationaux au service de son développement local. Il illustre aussi l’efficacité d’une approche intégrée, qui allie technologie, vision stratégique et ancrage social.
Le message du Président : gouverner, c’est répondre concrètement
En inaugurant cette station, Brice Clotaire Oligui Nguema envoie un message fort : la transformation du pays se joue aussi dans les infrastructures invisibles mais essentielles. L’eau, l’assainissement, la santé, l’école : autant de fondations sur lesquelles il entend bâtir un Gabon nouveau, plus juste et plus solidaire.
L’État ne se contente plus de promettre. Il construit, il connecte, il délivre.
